Discussion:Syndrome de Diogène

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Intérêt ?[modifier le code]

Sur Google 577 résultats en anglais pour "Diogenes syndrome" (curieusement, un peu plus en français). Pas de très grande notoriété donc. Article d'importance faible, toujours en ébauche plus d'un an après la création. PàS, non? Michel421 11 octobre 2007 à 21:41 (CEST)[répondre]

Non je pense. Pas étonnant qu'un syndrome de ce genre de te donnes pas pléïade de liens sur google. C'est quand même assez pointu comme sujet. A priori il existe : 54 articles sur PubMed, 1240 pages en recherche exacte sur google en français et 714 en anglais.
Ca n'est pas très connu mais ca existe. L'article ne me pose pas de problème sur la forme ou le fond. Je le garderais bien c'est interessant. Pourquoi enlever cette information de l'encyclopédie? Nous n'avons effectivement pas définit de critères de notoriété pour les maladies/symptômes/syndrome, mais franchement il n'y a pas lieu d'une PàS ici, à mon humble avis. --Grook Da Oger 11 octobre 2007 à 22:08 (CEST)[répondre]
Il ne faut pas regarder seulement l'article lui-même. Je viens d'ajouter un lien externe qui permet d'accéder directement à une étude qui me semble fort intéressante. Gustave G. 11 octobre 2007 à 22:19 (CEST)[répondre]

Je passe l'article de Médecine à Psycho (portails), et je le colle en évaluation Psycho. Ca rameutera peut-être des spécialistes. Je connaissais ce syndrome avant de découvrir l'article, donc pas de raison pour moi de douter de sa pertinence/notoriété, faute d'argument spécialiste. De plus pas possible de développer le syndrome dans Diogène de Sinope (sinon comme anecdote, en 2 lignes maximum). -- irønie turlut 12 octobre 2007 à 14:16 (CEST)[répondre]

J'ai reverté les bandeau psycho avant de voir ce message en discuss. Pour moi c'est plus de la psychiatrie donc à classer plutôt en médecine ... --Grook Da Oger 12 octobre 2007 à 18:23 (CEST)[répondre]

L'un des articles les plus comiques que j'ai lu depuis longtemps. En partie par le caractère hautement pataphysique de ses différentes assertions, en particulier sa conclusion. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.67.241.39 (discuter), le 24 avril 2008 à 02:51

Un médecin et un pharmacien ont vu l'article et n'ont pas demandé sa suppression ; ils ont donc estimé que ce n'était pas un article comique etc. Qu'une I.P. dont nous ne savons rien le trouve pataphysique, cela ne présente guère d'importance. Gustave G. (d) 24 avril 2008 à 06:38 (CEST)[répondre]

En réponse à Grook, à mon humble avis je ne crois pas que ce soit véritablement un trouble d'ordre psychiatrique. Je ne suis ni psychiatre, ni psychologue (bien que je considère cette dernière discipline comme étant subjective), mais outre une appréciation ad hominem que l'on pourrait avoir de ce que je raconte versus mes diplômes (qui sous cet auspice serait sans intérêt), il semble que ce syndrome n'est pas le fruit d'un dérèglement biologique donc avant-coureur, ni pouvant donc être traité par de la médication ou quelque intervention propre à une pathologie médicale, sinon que pour : les cas où les symptômes apparaissent en raison de la vieillesse/sénilité (ce qui serait une autre histoire outre pour l'encadrement social) ; les cas où ce syndrome entraîne en parallèle une forme de dépression chronique, bipolaire, ou passager et récurrent (telle une conséquence). Pour des jeunes de 7 à 77 ans (avant que la « sénilité biologique » s'installe), ce syndrome apparaît principalement en raison d'un environnement et d'expériences issues d'interaction avec cet environnement ; il n'est pas biologiquement prédéterminé bien qu'il puisse avoir des conséquences en ce sens (mais pas toujours). J'en parle, car je côtoie de près un tel cas répondant à tous les symptômes cités depuis l'âge d'environ 30-33 ans, un être voué d'une grande intelligence, et dont les syndromes sont apparus suite à une continuité d'abus/harcèlements psychologiques (tel un abandon ou suicide social). --HawkFest (discuter) 22 juillet 2015 à 14:21 (CEST)[répondre]

Trouver une position de sociologues ?[modifier le code]

Il est surprenant que cette affection n'ait été "découverte" que dans les années 60-75 alors que tant d'autres le sont depuis si longtemps, et que même certaines qui se trouvaient autrefois dans le DSM en ont été en fin de compte supprimées depuis (homosexualité, hystérie...).

Il faudrait voir si des sociologues ont émis des avis sur la question, car la "maladie" en question semble bien opportune. En matière sociale d'abord (quoi de plus ennuyeux en pleine société de consommation qu'une personne qui ne consomme pas, qui épargne, et qui refuse de jeter, n'est-ce pas ?). En matière familiale ensuite (une personne âgée devenue un peu apathique qui dispose d'un beau paquet d'économies à laquelle elle ne touche pas représente un beau petit gibier de curatelle pour des héritiers pressés).

Sans nier la réalité de ces symptômes que j'ai parfois observés autour de moi, la nécessité de mentionner dans l'article les trois facteurs (psychologique, social et juridique) me semble impérative, si on trouve des sources les mentionnant. Les trois aspects semblent trop imbriqués pour qu'on se contente ici d'une approche en tout-médical. 212.198.22.151 (d) 11 février 2010 à 05:12 (CET)[répondre]

Je relis la bibliographie et m'arrête sur ceci : "Senile breakdown in standards of personal and environmental cleanliness". Sapristi, ne nous accusait-on pas jadis, nous les soixante-huitards, de "juvenile breakdown in standards of personal and environmental cleanliness" parce que nous portions des jeans troués, nous laissions pousser la barbe et les cheveux, ne portions ni chapeaux ni cravates et ne cirions pas nos chaussures ? Bien que la page ne soit en aucun cas à supprimer, cet article reste encore bien trop normatif pour un article de psychologie. A ce compte, va-t-on nous présenter dans vingt ans Alexandre le bienheureux comme la description d'un cas clinique assimilable à celui de l'homme aux loups ? Ne confondons pas maladie et choix de vie individuels, SVP ! 212.198.22.151 (d) 11 février 2010 à 05:22 (CET)[répondre]
Quand un (soi-disant) choix de vie entraîne des nuisances pour l'entourage, il devient de fait une pathologie. La présence d'une personne souffrant du syndrome de Diogène dans un immeuble entraîne des nuisances (odeurs, infiltrations, écoulements de liquides par le balcon...) et des risques (incendie). Je ne suis pas là pour raconter ma vie, mais j'ai été élevé par une mère atteinte de syllogomanie (forme mineure du syndrome de Diogène) et j'en ai souffert. Les accusations de complot ne sont que littérature à côté des nuisances objectives causées par les "Diogènes". --Sylvaindesbois (d) 21 février 2010 à 09:53 (CET)[répondre]

Je suis bien d'accord avec l'IP 212.198.22.151 ! À mon humble avis je ne crois pas que ce soit un trouble d'ordre psychiatrique, mais plutôt psycho-sociologique. Je ne suis ni psychiatre, ni psychologue (bien que je considère cette dernière discipline comme étant subjective), mais outre une appréciation ad hominem que l'on pourrait avoir de ce que je raconte versus mes diplômes (qui sous cet auspice serait sans intérêt), il semble que ce syndrome n'est pas le fruit d'un dérèglement biologique donc avant-coureur, ni pouvant donc être traité par de la médication ou quelque intervention propre à une pathologie médicale, sinon que pour : les cas où les symptômes apparaissent en raison de la vieillesse/sénilité (ce qui serait une autre histoire outre pour l'encadrement social) ; les cas où ce syndrome entraîne en parallèle une forme de dépression chronique, bipolaire, ou passager et récurrent (telle une conséquence). Pour des jeunes de 7 à 77 ans (avant que la « sénilité biologique » s'installe), ce syndrome apparaît principalement en raison d'un environnement et d'expériences issues d'interactions avec cet environnement ; il n'est pas biologiquement prédéterminé bien qu'il puisse avoir des conséquences en ce sens (mais pas toujours). En fait, les symptômes peuvent soit être une conséquence de la dépression (auquel cas il ne s'agit pas de ce syndrome, mais simplement les symptômes d'une dépression), soit provoquer la dépression en parallèle, soit ne pas être accompagné de dépression (une décision consciente telle celle d'un Hermite qui se met en marge volontairement). J'en parle, car je côtoie de près un tel cas répondant à tous les symptômes cités depuis l'âge d'environ 30-33 ans : un être doué d'une grande intelligence (QI près de 160, et 4eme sur 400-450 postulants à une psychométrie de WOLF lors d'entrevues d'une grande entreprise nationale visant à détecter les capacités intellectuelles-scientifiques-logiques, mais humble, peut-être trop au regard de la mode individualiste d'aujourd'hui exacerbant la jalousie), et dont les syndromes sont apparus suite à une continuité d'abus/harcèlements psychologiques (tel un abandon ou suicide social, car tout dépend d'où proviennent ces abus : il y a une nuance majeure entre une source filiale ou amoureuse ou relevant d'un engagement sincère, et une source qui n'est rien de tout cela). Ce syndrome apparaîtrait principalement dans des environnements sociaux embrassant des préceptes liés au nihilisme faible et libertarien à l'extrême, par exemple dans les pays occidentaux depuis les années 1980-90 --HawkFest (discuter) 22 juillet 2015 à 14:28 (CEST)[répondre]

La pertinences des photos présentées ici est discutable : elles montrent simplement des locaux encombrés par des personnes couramment qualifiées de "bordéliques". Le bordélisme peut-il être considéré comme une pathologie ?--Jules MSG (d) 3 juillet 2010 à 00:03 (CEST)[répondre]

Trouble du comportement de la personne âgée conduisant à des conditions de vie négligées, voire insalubres.[modifier le code]

Si ces troubles peuvent sembler associaux. Ils n'engagent pas la santé physique (la mort) de la personne. Ce petit mot en passant pour rassurer le lecteur. -- Perky ♡ 11 février 2010 à 10:55 (CET)[répondre]

Faute de français[modifier le code]

Dans la partie « Etiopathogénie », la phrase « La prévalence des maladies neuropsychiques entre 30 % à 80 % chez les personnes souffrant du syndrome de Diogène selon différentes études » ne veut rien dire. « entre » est-il le verbe entrer conjugué à la troisième personne du singulier du présent de l'indicatif, ou la préposition? De plus il est question des sujets jeunes juste après, donc doit-on supposer que cette assertion concerne les sujets âgés ?--Sylvaindesbois (d) 21 février 2010 à 10:00 (CET)[répondre]

Rôle de la guerre ?[modifier le code]

J'ai entendu beaucoup de personnes ayant connu la deuxième guerre mondiale en France dire que l'on était empoisonné de n'y trouver presque jamais en magasin des objets de première nécessité. Cela a laissé des traces : ma soeur ne se sent jamais rassurée si elle n'a pas dans ses placards six mois d'avance de papier hygiénique, et ma mère récupérait tout d'une chemise jetée : boutons, manches (pour cirer les chaussures) et le reste (comme chiffon pour faire les carreaux). Jusqu'aux épingles des chemises neuves étaient conservées, au cas où. Mais pourquoi pas ? Cela semble infiniment plus rationnel que le comportement de consommation à outrance qui nous pousser à jeter et encore jeter et qui - lui - semble réellement pathologique, non ? 212.198.145.112 (d) 18 décembre 2010 à 09:57 (CET)[répondre]

Référence à Diogène[modifier le code]

« Le nom syndrome de Diogène adopté en 1975 fait référence à Diogène de Sinope, philosophe grec du ive siècle av. J.‑C., chef de file des cyniques et disciple d'Antisthène, qui avait adopté et suivi jusqu'au bout un idéal de privation (ascèse) et d'indépendance par rapport aux nécessités matérielles. Il est à noter cependant que Diogène se débarrassait au maximum du matériel8 au lieu de l'accumuler. »

Le pauvre Diogène, s'il était en mesure de lire ces lignes il s'en retournerait sans aucun doutes dans sa fosse commune. Je me permet de rectifier ce passage, manifestement écrit par quelqu'un très peu au fait sur le cas du chien de Sinope. La simple association de son nom au concept d'idéal est hérésie à l'école cynique !

Cet article fait partie du portail de la médecine et non du portail de la philosophie. Il est possible que l'expression ait été mal choisie, le fait est qu'elle existe et que celui qui l'entend peut avoir envie de savoir de quoi il s'agit. On peut signaler que cette conduite ne correspond pas à ce qu'était vraiment ce philosophe, mais en appendice pour ne pas embrouiller l'exposé. Gustave G. (d) 5 février 2012 à 08:48 (CET)[répondre]

Le Syndrome de Diogène dans les média[modifier le code]

Jolie animation japonaise de dix minutes où on retrouve plusieurs symptômes.

Syndrome de Diogène : une association spécialisée sur le sujet.[modifier le code]

Il existe une association qui s'occupe du syndrome de Diogène et de ses manifestations parfois déroutantes (accumulation compulsive d'objest au domicile, insalubrité, misanthropie...)

Le syndrome n'est ni une fatalité, ni une malédiction. Des pistes de sorties existent.

Association survivre à l'Insécurité.https://www.syndrome-diogene.org — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.12.211.127 (discuter), le 14 janvier 2022 à 20:47 (CET)[répondre]